On sort du frigo et on la fait retomber et on façonne comme on veut. Puis on laisse doubler de volume, on badigeonne de jaune d'œuf et on met à cuire. On peut faire sans sucre pour du salé. Un complément pour recette, il faudrait que je retrouve à laquelle elle s'applique.
Un mirliflore ami m'envoya une jussion, moi qui ne signe que des contrats synallagmatiques. Je me suis défendu avec mon kestrosphendone. Jussion ; synallagmatique ; mirliflore ; kestrosphendone. Quatre mots que j'avais trouvé pour un jeu de défi chez Tto. Finalement je ne les avais pas utilisés.
Pourquoi Bienvenüe prend-il un tréma sur le u ? Je n'ai rien trouvé sur le net. Ça ne change rien à la notoriété de l'ingénieur qui conçut le métro de Paris.
Sur France Inter tout a tendance à devenir grand. Le grand entretien de Léa Salamé et Nicolas Demorand dans la matinale. Le grand débat du samedi matin. Par contre on n’amplifie pas le nom du téléphone sonne. Normal, il est animé par la grande Fabienne Sintes... Cette femme a une autorité naturelle, une empathie et un sens de la répartie à faire mourir d’envie toutes les Léa Salamé.
J’ai beaucoup aimé son annonce sur l’émission de lundi 17 septembre dernier relative à la sexualité des adolescents. Quelque chose comme « on veut nous faire croire qu’on va apprendre la masturbation à l’école maternelle. Ben voyons.... la sexualité .... ce soir dans le téléphone sonne on parle de cul avec les ados »...
Un samedi d'automne, je me suis demandé à quoi cela servait d’apporter la contradiction à Zemmour mais à partir du moment où on lui donne la parole... Raphaël Glucksmann et Natacha Polony était de ce « grand débat ». Il faut bien du courage pour débattre de ses grandes provocations. Y croit-il vraiment lui-même ? De quoi Zemmour est-il le nom ?
Mince. Le beau Raphaël Glucksmann est avec Léa Salamé. On pourrait dire qu'est-ce qu'il lui trouve ? Comme j'ai beaucoup d'estime pour lui, je me dis qu'elle ne doit pas être si désagréable.
Si tes notes ne servent à rien,alors n'écris pas pour ne rien dire!
RépondreSupprimerPierre
Oh vilain Pierre ! Ici c’est mon carnet intime et sans prétention que tu as l’heur de lire,
Supprimermes notes elles sont de mélodies que je voudrais terminer et des poésies j'ai commencé à en écrire dès mes premières années primaires ; certaines ne veulent rien dire ou ne valent rien, et pourtant parfois un rédacteur en chef d'une revue en a bien voulu et un autre leur trouvait des ressemblances belge surréaliste _ alors pourquoi ne pas ressortir les vôtres, surtout que depuis que j'ai découvert votre blog je trouve votre langue française si riche , tant remise sur l'ouvrage que j'en bois l'eau comme d'une coupe qui j'espère ne se brisera pas comme la cruche_
RépondreSupprimerJoseph, vous êtes plus poète que moi !
SupprimerJe rougis à ma langue si riche, française certes mais y lit-on un peu d’occitanité ? J’aimerais tant...
Je me suis un peu repenti sur ce billet. Les 25 premiers lecteurs ont eu droit à une langue plus crue, une petite sortie de route sur Léa Salamé... pardon Raphaël.