dimanche 14 juillet 2024

Déni-ni

Tu te souviens peut-être de Jospin ou plutôt de sa caricature et son « pays de merde » ? On en est toujours là mais le merdier n’est pas là où l’on pense. Faute de pouvoir changer le peuple et son vote, faute de pouvoir changer de classe politique en 2-2, il ne reste qu’à s’adapter. S’adapter ou mourir. Mais les barons noirs n’ont rien compris à l’adage de la Reine rouge (voir ici si tu ne le connais pas). Regarde bien la scène, les hommes et les femmes politique ne se cachent pas pour mourir.

mardi 25 juin 2024

Le bal des baudruches

Triste période. J’en ai fait des cauchemars. Je suis scotché sur les médias. France info, Inter, l’Obs, PQR, Quotidien plus quelques excursions ici ou là, je ne dirai pas à droite ou à gauche. Il faudrait sans doute que j’en fasse plus pour mieux comprendre ce que d’aucuns pensent. Mais je suis quand même retourné lire quelques posts d’un blogueur de l’extrême centre qui m’avait usé de son manque de recul par rapport au grand homme qui croyait nous gouverner. Je lis et j’écoute des analyses très intéressantes. La production est riche en ce moment.

mercredi 19 juin 2024

Qui va piano va sano…

e va lontano. J’ai souvent entendu cette expression dans mon enfance bien que nous n’ayons pas eu d’accointances italiennes. J’imagine qu’elle a marqué mon inconscient puisque je l’ai appliquée à l’adolescence, largement oubliée plus tard, retrouvée aujourd’hui. Je ne compte plus m’en séparer.

jeudi 13 juin 2024

Vers le sommeil

Autrefois je ne pouvais m’endormir sur le dos. Je sombrais en chien de fusil. J’ai plus de diversité de position aujourd’hui. Je m’étais glissé nu sous la couette. Je profitais des quelques instants que me laisse un endormissement toujours très rapide.

mardi 11 juin 2024

Solos

Je sais bien que mes billets politiques ne sont pas tes préférés, mais j'ai parfois besoin de me soulager a fortiori quand la vie publique est considérée par d'aucuns comme un plaisir solitaire. J'ai déjà cité Antonio da Silva avec le superbe Dancers.

lundi 10 juin 2024

Noir c'est noir

Suite à un incident indépendant de ma bonne volonté, le billet prévu ce jour sera publié demain. J'ai eu du mal à me sortir du lit. Une sorte de gueule de bois me plombe. Maintenant que je suis levé, je décrypte la bouteille de rouge du Languedoc que j'ai sifflée hier soir en bonne compagnie. Syrah, Mouvèdre, grenache. Ça aurait dû le faire pourtant, avec des cépages parmi mes préférés. Contient des sulfites.

samedi 8 juin 2024

Glanes #59 j’irai voter

La situation nationale et internationale est à pleurer et nous regardons ailleurs (je sais qu'on te l'a déjà faite). Enfin, pas tout à fait. Alors qu’on nous a imposé Blanquèrr et Castanèrr (voir Léa va chez le bouchair), il y a quelques années, il paraît qu’il faut dire Valerie Hayé ou Héyé. Alors que Hayèrr voire Hayeur auraient été plus logiques dans la ligne normalisatrice de nos prononciations. Faut-il croire à ces sondages pour les européennes ?

vendredi 31 mai 2024

10 petites choses qu'il te faudrait savoir si tu devais vivre avec moi (3)

Rien publié en mai, enfin presque avec ce billet. Le mois n’est pas passé si vite que cela mais j’en ai bien profité à diverses choses festives et sportives. Mon corps tient le choc, c’est plaisant, j’espère que ça va durer. Oui le temps passe et je n’ai toujours pas fini cette liste… mais en même temps l’occasion ne s’est toujours pas trouvé qu’on vive ensemble. Peut-être que ces petites choses sont rédhibitoires ?

lundi 29 avril 2024

Mon dieu du stade pensait sortir nu...

J’avais déjà reçu discrètement Mateo mais c’était une rencontre très amicale. Il y a quelques semaines, j’ai fait un plan chez moi. Un gars rencontré sur la toile qui me plaisait bien et j’étais si en manque de douceur masculine. La théorie des cercles concentriques s’est ainsi vérifiée. Petit à petit les rencontres s'étaient rapprochées tandis que je prenais de plus en plus sur moi.

lundi 22 avril 2024

404

Jean-Paul Belmondo monte dans une 404 dans Pierrot le fou
L'autre jour, en cherchant l'origine de Peste et choléra, je me suis espanté avec le nombre d'erreur 404 que l’ouverture de mes liens favoris ont généré. Évidemment pour quelques blogs que j'avais suivi assidument, je savais qu'ils avaient été retiré par leurs auteurs. Mais pour d'autres dont arrivaient encore de temps en temps quelques billets, je n'avais pas identifié leur retrait définitif. C'est toute une époque révolue et c'est ainsi, mais il me manque la possibilité de revenir sur quelques textes, feuilleter quelques pages que j'avais aimées comme quand on ressort un livre de sa bibliothèque et qu'on aime à relire des passages choisis.