Ça commence bien je suis déjà en retard pour publier mon billet du jour d’hier. Depuis quelques temps, je me souviens plus souvent de mes rêves. C’est assez fatiguant. Je suis à un tournant de ma vie et j’ai l’impression de solder des comptes. Il me revient des histoires plus ou moins anciennes, en particulier des injustices vécues, des affaires que j’ai gérées en souplesse car j’ai toujours fuit la colère. Et là ma parole se libère, je solde.
Et je me réveille troublé voire un peu lessivé. Comme autrefois je me souvenais rarement de mes rêves, je crois avoir une assez bonne vue d’ensemble et je n’ai pas la mémoire d’avoir fait beaucoup de rêves très oniriques. J’ai dû en raconter ici car le mot revient un paquet de fois dans mes billets. Le pire de mes rêves, celui où j’ai tué un de mes frères biologiques. Le plus beau, celui où je faisais l’amour avec un de mes frères de vie. On cherche toujours à surinterprèter ses rêves, la plupart du temps il faut laisser filer.Pour en savoir plus sur Inktober with a keybord (Iwak),
cliquer ici.
A la base il s'agit de produire un dessin ou une ébauche, une
illustration, un lettrage, une calligraphie ou une typographie mais
comme je ne sais dessiner qu'avec
des mots, il s'agira pour moi comme pour d'autres blogueurs de publier en octobre
un
billet par jour sur le thème défini dans la liste. A retrouver aussi chez Matoo et Arthur Montignac.
Oh cool un copain de Iwak !!! Je suis d’accord il faut laisser passer, surtout si on essaie d’être trop littéral. Soit on s’engage vers de la psychanalyse sans être psy, soit on est tellement biaisé que ça n’a aucun sens ni avantage de s’évertuer à chercher des sens évidents ou cachés.
RépondreSupprimerEn effet, je me posais beaucoup trop de questions et ma psy(chologue) m'a mis en garde ^^
SupprimerMon rêve familier
RépondreSupprimerPaul Verlaine
Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime,
Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend.
Merci pour cet intermède poétique !
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