Et sinon, 2020 aurait pu me faire passer le virus des hommes au moins faute de. Malgré tout le palmarès fut riche certes pas en quantité mais en belle tenue.
En ce début d'année, je célèbre Mateo, mon célèbre garçon qui fondait dans la bouche, qui va et qui vient et finalement revient. Et je pressens que nous nous croiserons à nouveau pour tendresse et plus encore.
Je pense aussi à celui qui est devenu au fil du temps mon régulier de proximité, un garçon étonnant qui à chaque fois me livre une nouvelle facette dans sa belle maison de devant les montagnes.
Un beau souvenir aussi pour le cycliste d'ici près, que j'espérais revoir souvent, et pour cause, mais qui semble avoir révisé sa position. Certains garçons vont et viennent - je le disait plus haut - on ne s'en plaindra pas tant ces éternels retours sont sources de beaux émois.
Je ne saurais oublier non plus ces hommes qui m'ouvrirent leurs bras à l'orée d'un confinement que nous n'imaginions pas encore, lors de ces une, deux, trois soirées parisiennes avant la fin de ce monde, car quoi que tu en penses, mon cher ami lecteur, ce monde-là est bien fini. Il ne saurait renaitre à l'identique, il est fort probable que le pire est à venir.
En attendant, prends soin de toi en 2021, plus que jamais.
Je vous que tu ne fais pas de vœux. Sans doute plus sage. Prends soin de toi également. Bises
RépondreSupprimerTu veux dire que je n’ai pas écris belle et heureuse année ?
SupprimerEt bonne année , j espère pleine de “frottements” à la Montaigne...
RépondreSupprimerMmm se frotter à la Montaigne ! Merci Arthur
SupprimerDes frottements PARTOUT,et pas seulement à la montagne.Sur un corps par ex et recto verso!
RépondreSupprimerPierre
Arf, Pierre le troll !
SupprimerJe t'embrasse pour la nouvelle année!
RépondreSupprimerPierre
Première fois que je suis embrassé par un troll !
Supprimerlol!!
Supprimer???
RépondreSupprimerPierre
Tu aurais pu m'expliquer ce que signifie "troll" dont tu me qualifies...
RépondreSupprimerPierre