Oui j'ai tout essayé.. même les gacha-empega** du roman policier français.
Dans les polars, j'aime beaucoup que l'on puise dans le passé, que ce soir sous l'angle de la grande Histoire comme chez Fred Vargas ou de la petite, la familiale, comme avec Camilla Läckerg. Mais arriver à articuler le passé et le présent - j'hésite sur le verbe pour ne rien dévoiler -, relève d'une grande prouesse.
Un début à l'Agatha Christie : "Trois femmes vivaient dans un village. La première était méchante, la deuxième était menteuse, la troisième était égoïste. Elles possédaient pourtant un point commun, un secret en quelque sorte : toutes les trois rêvaient de fuir..."
Je n'en dis pas plus.
Si, l'inspecteur Laurenç Sérenac est à croquer.
J'ai adoré, scotché jusqu'à la révélation finale, et comme je suis très sensible, ému aux larmes sur les dernières pages.
Je cours acheter la BD, hyper curieux que je suis de voir comme les auteurs ont pu adapter en images un scénario pareil !
Nymphéas noirs, Michel Bussi. Presses de la cité, 2011.
Nymphéas noirs, de Michel Bussi, dessins de Didier Cassegrain, adapté par Fred Duval. Dupuis, 2019
* J'ai volontairement écrit scénarios, tu ne m'y prendras pas à graver un faux-savant scénarii, avec un é et sans italique dans le texte comme j'ai pu en lire il y a peu.
** Qu'es aquo un gacha empega ? pour faire simple, c'est "quelqu'un qui souffre au fond de lui"...
A lire devant un tableau de Claude Monet en écoutant Brel...
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