Évidemment, il ne s'agissait pas des queues que tu crois. Laure Prouvost parlait "de son installation à la Biennale de Venise mais pas seulement ..."
J'ai des trucs à écrire mais je suis parti sur un nouveau roman.
Presque déjà fin mai, les châtaigniers se préparent à larguer leur foutre. Est-ce que la pluie s'arrêtera à temps ?
Quel pseudo trouver pour ma dernière rencontre ? J'avoue qu'il m'a laissé rêveur. Toujours cette question de fond. Est-ce que celui que tu attends existe ? Je ne sais quasiment rien de lui si ce n'est qu'il semble me correspondre comme les côtes des Amériques à celle de l'Europe et de l'Afrique.
La dérive des sentiments, c'était un joli roman d'Yves Simon (prix Médicis 1991). Je m'en souviens à peine. Juste une ambiance. Le net me remémore "une variation mélancolique sur la création littéraire, où le narrateur veut croire que les histoires qu'il imagine pourront transformer la vie et les êtres qui les traversent".
Vincent Delerm me rappelle Yves Simon dans sa manière de chanter-parler. Cela fait quelques semaines que je ne l'ai pas écouté en boucle. Je mets le CD dans l'autoradio, je laisse tourner sans cesse sur le même trajet, ça reprend sur le suivant. A présent. Nous sommes la vie ce soir. Prends un train vers la côte.... La vie devant soi. Les gens qui doutent ("Merci pour la tendresse. Et tant pis pour vos fesses.Qui ont fait ce qu´elles ont pu", Anne Sylvestre). "Depuis le départ, tuas raté cent fois, un amour une histoire, un geste maladroit, un garçon inflammable..."
Monsieur, est-ce que vous êtes heureux ?
il y a un cinéaste italien qui a filmé une queue gigantesque - nous on appelle cela aussi des files - "Le grand embouteillage"
RépondreSupprimerNous disons file aussi en langage soutenu, queue est plus familier ^^
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