Je lis un deuxième post. Celui sur Radiohead. Je le lis pour ma culture générale. Ce nom de groupe ne m’évoque rien. Juste un jeu de mot avec Motorhead, dont je ne serai pas plus capable de citer un morceau. Ma culture musicale anglo-saxonne est terrifiante de blancs et puis cette incapacité à retenir les noms d’artiste et de groupes, ou surtout d’établir une bijection avec des morceaux. Intéressant, j’ai même écouté l’émission de radio de Luc Lagier dont la voix simulerait presque une séquence d’ASMR. Creep ne rappelle rien, par contre je situe bien le tube de l’Auberge espagnole. Mais si je parle de Radiohead c’est aussi parce que hier, en allant faire mon deuxième test qui se révélera négatif, j’écoute Inter qui parle de Christophe et diffuse cette version des Mots bleus façon Radiohead, hihi j’ai failli écrire Motor…. captée par une spectatrice car il n’y a pas eu d’enregistrement. Je ne comprends pas tout et je googlelise tout ça au retour. Radiohead aurait piraté Christophe ? Non en fait ce qu’une question de notes, et Basmattea l'explique très bien : " En fait, le morceau est basé sur une suite de quatre accords qui tourne en boucle : Sol, Si, Do puis Do mineur ce qui a pour effet d’amener une tension avant le retour en Sol." Certains doivent se demander comment avec 7 notes, quelques silences, dièses et bémols on arrive à autant de création musicale différenciée. Chut, ça ce n’est que le codage, la gamme est infinie, mais par contre la probabilité qu'une séquence donnée revienne n'est sans doute pas faible. "Au final [continue Basmattea] que le morceau soit ou non un original n’importe pas en réalité. Ce qui compte c’est l’émotion qu’il délivre, ce que l’on ressent quand on l’écoute ou le joue. Tant que ce n’est pas en boucle votre santé mentale n’est pas en danger.". La dernière phrase m'inquiète un peu, il peut le faire...
dimanche 12 décembre 2021
Vinsh, Radiohead et Christophe
Je découvre un blog, qui redémarre, via Matoo. Le premier billet de Vinsh que je lis c’est celui sur le consentement et le viol. Un billet au style haletant. Bien sûr, puisqu’il doute et qu’il en parle ainsi, c’est que c’en était un. Forcément ça fait débouler des trucs. Ces choses qu’on a pu faire alors qu’on était pas si chaud que ça. Mais non, je n’en ai pas, en fait. La seule fois où ça aurait pu, où je me disais que si j’étais là ce n’était pas pour reculer alors que je mourrais d’envie de me carapater, c’est le gars qui a compris et m’a fait atterrir. Un mec cool en fait. Non, le seul truc qu’on m’a imposé c’est cette histoire de fou dont je ne suis toujours pas revenu mais je m’étais dégagé à temps. Et puis sur un autre registre, ce geste médical, obligatoire certes, mais pas anticipé et expliqué au bon moment. Je me revois affolé à l’idée que ce toubib trouble allait mettre son doigt dans mon conduit meurtri. Je pense à ces femmes qui pour des raisons fallacieuses ont subi ça à l’hôpital Tenon. C’est infâme, dégueulasse. Il n’y a pas de mot pour le dire.
Je lis un deuxième post. Celui sur Radiohead. Je le lis pour ma culture générale. Ce nom de groupe ne m’évoque rien. Juste un jeu de mot avec Motorhead, dont je ne serai pas plus capable de citer un morceau. Ma culture musicale anglo-saxonne est terrifiante de blancs et puis cette incapacité à retenir les noms d’artiste et de groupes, ou surtout d’établir une bijection avec des morceaux. Intéressant, j’ai même écouté l’émission de radio de Luc Lagier dont la voix simulerait presque une séquence d’ASMR. Creep ne rappelle rien, par contre je situe bien le tube de l’Auberge espagnole. Mais si je parle de Radiohead c’est aussi parce que hier, en allant faire mon deuxième test qui se révélera négatif, j’écoute Inter qui parle de Christophe et diffuse cette version des Mots bleus façon Radiohead, hihi j’ai failli écrire Motor…. captée par une spectatrice car il n’y a pas eu d’enregistrement. Je ne comprends pas tout et je googlelise tout ça au retour. Radiohead aurait piraté Christophe ? Non en fait ce qu’une question de notes, et Basmattea l'explique très bien : " En fait, le morceau est basé sur une suite de quatre accords qui tourne en boucle : Sol, Si, Do puis Do mineur ce qui a pour effet d’amener une tension avant le retour en Sol." Certains doivent se demander comment avec 7 notes, quelques silences, dièses et bémols on arrive à autant de création musicale différenciée. Chut, ça ce n’est que le codage, la gamme est infinie, mais par contre la probabilité qu'une séquence donnée revienne n'est sans doute pas faible. "Au final [continue Basmattea] que le morceau soit ou non un original n’importe pas en réalité. Ce qui compte c’est l’émotion qu’il délivre, ce que l’on ressent quand on l’écoute ou le joue. Tant que ce n’est pas en boucle votre santé mentale n’est pas en danger.". La dernière phrase m'inquiète un peu, il peut le faire...
Je lis un deuxième post. Celui sur Radiohead. Je le lis pour ma culture générale. Ce nom de groupe ne m’évoque rien. Juste un jeu de mot avec Motorhead, dont je ne serai pas plus capable de citer un morceau. Ma culture musicale anglo-saxonne est terrifiante de blancs et puis cette incapacité à retenir les noms d’artiste et de groupes, ou surtout d’établir une bijection avec des morceaux. Intéressant, j’ai même écouté l’émission de radio de Luc Lagier dont la voix simulerait presque une séquence d’ASMR. Creep ne rappelle rien, par contre je situe bien le tube de l’Auberge espagnole. Mais si je parle de Radiohead c’est aussi parce que hier, en allant faire mon deuxième test qui se révélera négatif, j’écoute Inter qui parle de Christophe et diffuse cette version des Mots bleus façon Radiohead, hihi j’ai failli écrire Motor…. captée par une spectatrice car il n’y a pas eu d’enregistrement. Je ne comprends pas tout et je googlelise tout ça au retour. Radiohead aurait piraté Christophe ? Non en fait ce qu’une question de notes, et Basmattea l'explique très bien : " En fait, le morceau est basé sur une suite de quatre accords qui tourne en boucle : Sol, Si, Do puis Do mineur ce qui a pour effet d’amener une tension avant le retour en Sol." Certains doivent se demander comment avec 7 notes, quelques silences, dièses et bémols on arrive à autant de création musicale différenciée. Chut, ça ce n’est que le codage, la gamme est infinie, mais par contre la probabilité qu'une séquence donnée revienne n'est sans doute pas faible. "Au final [continue Basmattea] que le morceau soit ou non un original n’importe pas en réalité. Ce qui compte c’est l’émotion qu’il délivre, ce que l’on ressent quand on l’écoute ou le joue. Tant que ce n’est pas en boucle votre santé mentale n’est pas en danger.". La dernière phrase m'inquiète un peu, il peut le faire...
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