Trop c'était hier.
Un message rituel à Maurice. Il ne répondra pas mais cette fois j'ai utilisé une voie qui me permet de savoir qu'il m'a lu. 10 ans déjà.
Un oiseau qui repart du nid et vit sa vie. Je l'admire mais mon cœur se serre. Ce sentiment de n'avoir pas été disponible quand il le fallait.
Des amis qui passent et font d'autres choix.
Et finalement c'est ma propre vie qui m'échappe. Ce sentiment de trouble de ma personnalité. N'en plus pouvoir de ce que je suis, de comment je réagis et fait les choses. Parce-ce cela m'emprisonne. Parce-que cela m'empoisonne.
Une lueur au bout du tunnel, mais comment, en quel état, l'atteindrais-je ?
La période qu on traverse nous bouscule tous, même si parfois on a l impression de “gérer”. Je suis aussi de plus en plus envahi par le doute, m interrogeant sur ces choix qui aujourd’hui ne me correspondent plus, professionnels notamment, parfois perso, même si je suis au final assez heureux de ma situation. Mais que veux dire ce assez? Assez déboussolé aussi, donc, vivant à la petite semaine, ce que je déteste . Mais vois-tu, hier j ai trainé dans une expo d art contemporain, ça m a rouvert des neurones, tout comme les bières en terrasse. C est tout bête, mais ça remet la “machine” en place, ça réveille Le Désir , qui s étiolait !
RépondreSupprimerQuant à nos oiseaux quittant le nid, c est leur vie, on n a pas toujours été présent comme il le faut, mais c est la vie. Et je pense que sur ce sujet, quoique on fasse, ce sera presque toujours “ à côté”, car ils doivent couper avec nous de toutes les manières, pour vivre ce qu ils doivent venir.
Ce qu ils doivent vivre ( pas venir!)
RépondreSupprimerEt Maurice a lu le message? Que ferais-tu si il se pointait à ta porte?
RépondreSupprimerOui, avec WhatsApp tu sais tout...
SupprimerJe n’évanouirais...