On finit par l’écouter dans un songe, c’est une sorte de séquence ASMR (j’ai découvert il y a peu) même si ce n’est pas tout à fait chuchoté. Une voix qui me met en suspension comme cette fois où j’eus Marie-Christine Barrault au téléphone. Allô c’est Marie-Christine Barrault... j’étais resté béat, subjugué, porté par la voix, ne sachant quoi répondre jusqu’à réaliser à la fin que c’était un enregistrement.
La résonance entre les voix de Laure et Fanny était parfaite. Elles parlèrent de livres, peut-être de littérature, je suis resté le temps d'un court trajet.
J'ai eu la chance de passer une fin d'après-midi avec Fanny Ardant, chez elle à Paris, où nous parlâmes musique : il faudra que je relate sur mon blog ce grand moment de ma vie. Sinon, Fanny vous trouble tant que vous avez écrit un "béa" sans t, que j'ai lu par ailleurs, et qui doit-être très à la mode. ;)
RépondreSupprimerSilvano
Cher Silvano, merci de ce témoignage dont j’attends la suite sur votre blog...
SupprimerQuant au « béa » j’ai pourtant accroché dessus à la relecture mais l’erreur ne m’a pas sauté aux yeux, sans doute y ai-je curieusement vu une amie Béa, comme mon correcteur... je corrige !
Je ne peux oublier qu'elle campa une sublime Maria Callas ...
RépondreSupprimerCe film manque à ma culture !
SupprimerIl se peut que le nom du réalisateur Zefferelli vous ait éloigné de ce "Callas Forever" avec aussi Jeremy Irons ; mais le choc fut pour moi cette fiction filmée d'une Carmen avec Callas la diva qui n'a jamais interprété ce rôle à la scène, mais enregistra une intégrale ! mais la première Callas qui me charma les oreilles par son aigu fut Victoria de Los Angeles dans " Les tringles des sistres tintaient" et les deux notes terminales !
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