L’expression des visages, le regard, la moue des lèvres, autant de traits qui nous rappellent à tout moment avec Jaurès qu’il n’y a qu’un genre humain.
J’ai saisi au passage l’expression crispée de cet homme jeune qui s’avançait dans le rue. Malgré ses traits asiatiques il était le jumeau de ma tête brune dans ces moments d’intense solitude qui le confine à la dépression. Quelle peine de cœur ou quel sentiment d’inutilité l’avait saisi ?
Il n’y a qu’un genre humain, Homo, mais plusieurs espèces : habilis, erectus, ergaster, etc. et la nôtre Homo sapiens, qui est l’unique espèce survivante ayant éradiqué toutes les autres dont notamment neanderthalensis disparue, pour ne pas dire exterminée, il y a environ 30 000 ans.
RépondreSupprimerEt oui noirs, européens ou asiatiques nous appartenons tous à la même espèce, même si chez les européens reste une toute petite part de neanderthalensis…
Je ne crois pas justement que Jaurès exprimait une vision taxonomique, laquelle au XIXe a soutenu les dérives racistes en biologie qui pèsent encore aujourd'hui.
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