Tu as cent doutes remarqué que je centre très rarement les images de ce blog. Non, ne me signale pas une faute d'orthographe. Si tu regardes un peu le petit écran, possiblement sur un gigantesque écran plasma, tu as nécessairement vu passer, à moins que tu ne sois scotché sur Cnews, Ludovic Gigogne, journaliste à l'Opinion, parler de son ouvrage Les sans jours, ces "jours sans, où [Il] a perdu la main et peut-être laissé échapper à jamais son destin".
Après le deuxième tour, Il avait dit que le résultat l’obligeait. Finalement nous sommes gouvernés par une minorité de 20% des inscrits et Il ne s’est obligé à rien." Personne, surtout pas moi, ne peut rester sourd à cette revendication de justice sociale et de rénovation de notre vie démocratique. "
Hier soir, la radio jouait un air de déjà entendu, du « je vous ai compris » à ces tirades théâtrales et exaltées auxquelles nous avions pu croire.
" Nous avons devant nous 100 jours d’apaisement, d’unité, d’ambition et d’action au service de la France "
La dernière fois qu’un gars s’est mis dans la tête de reconquérir la France qu’il avait perdue, ça a duré 100 jours, en effet.
" C’est à cette certitude inébranlable d’incarner la neutralité et la raison qu’on reconnaît le centriste. " (Virgile Rendt).
Une dernière " C’est notre devoir et je vous fais confiance, je nous fais confiance pour y arriver ".
Belle journée, à nos cent jours !
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