Le meilleur

J'ai eu beaucoup de raisons de détester 2015 mais dans mon jardin secret ce fut une très belle année. J'espère autant de 2016, et à toi lecteur fidèle ou infidèle, qui me lit ou pas, je me demande parfois pourquoi, je te souhaite le meilleur.
Merci à...

Théo cet actif très séduisant, mais dont j'avais coupé l'ardeur, avec lequel je parle très régulièrement et que je ne désespère pas de revoir dans un trip autoreverse.

Steve d'ailleurs et sans lendemain, avec lequel j'ai passé l'un des moments les plus original de l'année dans une camionnette au milieu des vignes.

Matthieu, l'homme de rêves inaccessibles, qui m'a gardé par deux fois pour la nuit et m'a offert des plaisirs jubilatoires avant de me bercer de ses tendres grognements.

Louis, qui m'a montré que de belles caresses peuvent valoir tout aussi bien que des coups de bites, si tant est que j'avais besoin que cela ne me soit démontré...

Pompom, sans lequel j'aurais été 100 % actif en cette année 2015.

Ben, 100% passif avec les hommes, qui depuis notre rencontre ne manque pas de m'envoyer des petits messages érotiques en toute occasion et n'espère tant que de retrouver ce que j'ai de plus dur en moi.

Le nouveau Steve, dont je parlerai plus tard, belle surprise d'une nuit de novembre et qui pourrait bien être ce régulier espéré dans la ville où je vais souvent.

Hermès, messager du dieu tendresse rencontré dans un lieu que j'aurais imaginé hautement improbable pour tout autre chose que les coups sus-mentionnés.

et bien sûr Philippe, qui m'a sacré comme son meilleur amant de l'année et m'a fait basculer dans de douces rêveries à la veille de Noël.

et je n'oublie pas les autres garçons rencontrés dans la moiteur d'un hamman, voire sur un bord d'autoroute, ceux dont les caresses anonymes ne tomberont pas dans l'oubli, ou ceux encore avec lesquels ce fut un simple mais fort moment d'amitié, devant un verre ou au long d'un trajet, ou que j'ai badés lors d'une réunion, parce qu'il n'y a pas que le sexe dans ma vie, coco, même si c'est surtout ça que tu viens lire ici, me disent les statistiques parfois trompeuses mais souvent imparables...