jeudi 18 janvier 2024

Carnet de voyage #15 dans leurs yeux


Je les ai observé discrètement toute une après-midi. L’un l’hétéro régulièrement déçu par ses amours féminines et souvent désabusé. L’autre, homo solaire épanoui et épris de vie simple.

mercredi 17 janvier 2024

L’histoire de Maurice. 10, au pays

Nous étions donc tous deux au pays taiseux à quelques kilomètres l’un de l’autre. Maurice finissait le dimanche avec quelques copains de baignade. Je l’imaginais en maillot si désirable sous l’œil des baigneurs. Nous devions nous retrouver ensuite sur sa route de retour, à l’une des entrées d’un village tant aimé. Je m’étais échappé pour une visite solitaire à mes chers disparus. Entre les tombes, j’attendais le sms qui tardait, réduisant dangereusement ma disponibilité. Enfin, il arriva.

dimanche 14 janvier 2024

L’été meurtrier


Des vieux souvenirs qui remontent au passage de cette gare qui me semble immuable à quelques détails mobiliers près. La blancheur me chante qu’il a neigé sur notre passé.

samedi 13 janvier 2024

Je vais te faire aimer le train

La seneuceufeu et moi, c’est une grande histoire d’amour avec quelques liens familiaux qui comptent et quelques arnaques mémorables. J’ai toujours aimé le train et, même si je regrette parfois les temps conviviaux des grandes lignes ancestrales, je l’aime encore. Et puis, tu ne peux pas ne pas désirer une ambiance sous contrôle de filles et de gars si canons. 

samedi 6 janvier 2024

Une fois pour toutes




Je vais t’aider à trancher dans ce vieux débat pourri qui agite les contrées occitanes depuis que le Pithiviers ci-devant galette parisienne ou frangipane a envahi les étals des boulangers au début des années 1970 et surtout depuis que ceux du Nord se sont répandus sur nos terres ensoleillées depuis qu’on quitte plus facilement la capitale et le nord de la Loire qu’on ne monte à Paris.

vendredi 5 janvier 2024

Entre chiens et loups


Petit retour en arrière comme chaque début de millésime. L’année 2023 fut très calme côté mâles rencontres. Trois inconnus sur des lieux interlopes, Milan pour une dernière émue, et ce nouveau cycliste dont je ne retrouve pas trace dans mes écrits. Comment se peut-ce ?