Ma soirée à l'Entre deux eaux (2)

Il était temps que je te raconte l'entre deux de cette soirée, dont tu connais déjà le début et la fin. Cet anglais s'amusait avec mes tétons et j'en avais une érection. Il m'entraina dans l’arrière-boutique. Il voulait absolument que je le prenne. Ma foi, je n'avais rien contre. J'étais venu pour tout essayer, enfin presque, tu connais mes prudences.
Je l'ai suivi, il se mit en position sur le canapé du fond et me tendit un préservatif. Il y avait quelques gars debout sur les côtés qui nous observaient. J'ai glissé mieux que dans du beurre. J'ai trouvé cette posture exhibitionniste assez jubilatoire. Il semblait aimer, j'y allais de bon cœur en évitant d'atteindre le non retour. Je n'avais pas l'intention de jouir avec lui. La soirée ne faisait que commencer et j'espérais bien pouvoir m'approcher de cet Hermés avec lequel je ne savais pas encore que je ferais la fermeture. Un gars au corps un peu rebondi mais dur comme du fer et au visage marqué, presque tuméfié, s'était placé derrière moi et se mit dans la tête de me prendre en entre-pain. J'ai évalué son calibre pendant qu'il mettait une capote et je lui dis en rigolant que je doutais qu'il puisse y arriver. Il essaya mais dû assez vite renoncer. On rit ensemble pendant que je continuais à empaler l'anglais. Je finis quand même par me lasser du jeu. J'allais faire un tour dans le fumoir, le type même du réduit où à trois on est déjà les uns sur les autres. J'échangeais quelques mots, on m'offrait une cigarette.
Je retournais au bar où je m'asseyais face à Hermès. On eut quelques jeux de mains et de bouches. Puis, il me montra son gros sexe. Il voulait que je suce. Il faisait le gros dur. Je ne suce pas sans capote. Ben alors, va chercher une capote ! Je m'exécutais. Un sacré calibre, mais pas trop dans les conformations que j'aime bien, une forme ovoïde avec un prépuce qui décalottait mal. Je me sens assez cru quand j'écris cela, je ne t’épargne aucun détail. Non, vraiment, ce n'était pas la forme que j'aime dans ma bouche. J'avais plutôt envie de l'embrasser et de caresser ses cheveux, mais il n'était pas en phase tendre.
On s'est quitté.
Plus tard, dans l'arrière-boutique il y avait un rebeu très musclé au visage agréable. On a commencé par s'amuser face à face à pince-tétons. On a fini sur la banquette. D'une main il me maintenait les bras derrière le dos et de l'autre il me pinçait. J'ai adoré sentir sa force me retenir et la puissance du plaisir qui se dégageait de ses pincements. Il relâchait dès que c'était trop fort pour moi. On n'a fait que ça, un bon moment. Je crois que c'est après que je suis passé dans les bras d'Hermès. Je ne sais plus comment mais on a fait l'amour. Il pouvait être très tendre en fait. Il m'a fait jouir avec bonheur.
Le temps tournait, d'autres jeux avaient succédé.
Quand je suis ressorti du réduit, il était à nouveau allongé sur la banquette. Je l'ai rejoint, on s'est caressé, câliné même. Tu as de très beaux cheveux ! J'ai une belle bite aussi ! On a rit. Il m'a demandé d'où je venais, si quelqu'un m'attendait là-bas, si c'était un homme ou une femme. Il m'a dit qu'elle avait de la chance. Puis, qu'il allait finir par avoir envie de passer la nuit avec moi. C'est pour cela que j'ai pensé qu'il allait m'attendre dehors au moment où on est parti. Mais tu sais qu'il ne l'a pas fait. En fait, quelqu'un l'attendait aussi, même s'il semblait bien que ça n'avait pas trop d'importance.
Je suis resté troublé de cette expérience. Il me fallait la faire mais je m'attendais à quelle chose d'assez repoussant. Au contraire, j'ai passé un si bon moment...