samedi 28 mars 2015

Glanes #9 c'est où pour les queues ?

Semaine mitigée. Le printemps a fait une courte apparition mais aussi sec le retour du froid humide me ralentit le cerveau. Des envies non concrétisées. Et Milan qui m'espère toujours autant sans que nous arrivions à coïncider.

Stats
Samedi dernier, j'ai passé une bonne partie de la journée devant l'ordinateur. Écrire, ranger... Je regardais de temps en temps les statistiques du blog. Je suis même allé consulter googleanalytics, tu sais ce monument de pédagogie pour suivre et analyser la fréquentation... Soudain, il y eut une explosion, les consultations finirent par atteindre un nombre vertigineux. J'ai compris qu'une personne voire deux était en train de dévorer mes textes ! Bienvenue ici, à moins que tu n'aies rattrapé ton retard ou voulu relire de a à z.
Quelques jours avant je m'interrogeais sur la calme fréquentation de ce blog après mon récit d'une soirée parisienne, mon post à Ferrat et ma réponse à Tambour-Major. Alors j'ai posté ce cul très moyen, fait de diverses interférences qui m'avaient traversé l'esprit, histoire de voir si un tel mot allait doper la fréquentation. Ce qui m'aurait un peu chagriné. Oui, l'autre jour quelqu'un est arrivé après avoir tapé sur le moteur de recherche d'Orange cul, nu, plage et je ne sais plus quoi encore. Je suis rassuré. Mon cul n'a pas du tout atteint les sommets de cette bite mémorable. Je me demande toujours ce qui fait qu'un post soit plus lu qu'un autre puisque la page d'accueil ne donne que les premières lignes. Un vrai mystère pour moi. Par contre, j'ai bien compris que mes glanes ne passionnent pas un maximum de lecteurs bien qu'on y trouve parfois de très jolies perles. 

Trop triste
J'ai toujours eu envie de me prêter à une séance photo. Là j'avais lu cette annonce d'un dessinateur et j'aimais bien ses productions. Il a voulu voir mon visage. Trop triste. J'ai envoyé une deuxième photo où j'esquissais quelque chose qui souvent plait. Rien à faire. Mais de toute façon cette soirée était déjà gâchée, Théo que j'espérais pour la nuit ne donnait plus signe de vie et Ben faisait son mijauré qui n'ose pas passer devant un réceptionniste.

Transparence
J'attends à la pharmacie pour passer à la caisse. Il y en a plusieurs et l'attente se fait de manière un peu floue entre quelques présentoirs. Une dondon colorée des yeux aux cheveux nous passe devant glapissant un sonore c'est où pour les queues comme si elle n'avait pas vu les quelques gars patients dont j'étais. Haussements d'épaules.

Toujours à la pharmacie
Une pancarte. Fatigue professionnelle, burn out ? une cure d'un mois, 21,6 € [nom du produit]. Ah, si c'était aussi simple...




2 commentaires:

  1. J'ai eu la malchance, il y a trois ans de connaître le burn out et la dépression associée. Je ne te la souhaite pas. C'est plus d'un mois et ne se résume pas à 21.60... Tes écrits (c'est tout ce sur quoi je puis juger) ne reflètent pas trop me semble t il, heureusement j'espère.

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    1. Sois rassuré, j'ai failli y passer il y a 2 ans mais j'ai été sauvé à temps. C'est malgré tout un chemin particulier qui passe un apprentissage de soi. Merci Kigou.

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