lundi 10 novembre 2014

Cette putain d'empathie

Toutes ces petites choses auxquelles je suis sensible.
Ces mots que je lis entre les lignes, cette expression de ton visage que tu n'as même pas sentie, mais que j'ai vue et qui m'a touché.
Ces moments dont tu ne te souviendras pas mais que je n'oublierai jamais.
Cette fois où j'ai été ridicule, effacée de ta mémoire mais toujours dans ma tête.
Ce que je ressens de toi pour ces quelques mots échangés.
Ce que je t'ai dit et que tu n'as pas compris car je ne suis rien pour toi alors que tu es déjà beaucoup.
Ce coup d'un soir auquel je pense encore alors que je n'étais plus qu'un de plus pour lui lorsque j'ai franchi la porte.
Quand j'ai ouvert Skype, sous le pseudo de Steve du T. était écrit bientôt résilié.
Ça m'a fait un choc.
L'idée de le perdre déjà sans l'avoir connu.
Juste des perceptions qui faisaient qu'il était déjà quelqu'un pour moi. 
J'ai pensé à Thomas et au danois, que j'avais perdus dans le sauna.
Je lui ai écrit. 
Si tu résilies, tu ne me laisseras aucune coordonnée ?
Et un peu plus tard.
J'ai rêvé faire l'amour avec toi. Ce serait dommage de ne pas le faire en vrai.
De mes futilités empathiques.


Mais aussi des échos empathiques, des petits riens et des présences amicales. 
Des coucous en petits clics. 
Pour gagner au petit jeu de 200 au compteur ! c'était ici. 
Mais c'est trop tard ...
Quoique si tu m'envoies un mèl solidement argumenté peut-être t'enverrais-je le lien !

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