Touche Julien

Pour une fois, je n'avais pas illustré mon billet. Trouver l'image qui me plait n'est pas toujours très simple et hier mon temps était particulièrement compté.
Dans la foulée de la publication, je partage sur facebook qui draine une quantité phénoménale de lecteurs sur ce blogue. Ne ris pas.
Avant, le partage se faisait automatiquement grâce à un outil dénommé rss graffiti abandonné par son mainteneur depuis quelque mois. N'ayant pas trouvé d'autre solution, je partage moi-même, ce qui ajoute automatiquement deux pages lues à mon compteur.
Il n'y a pas de petit profit.
La gestion de l'interface réseau social est un peu lourdingue. Elle est incapable de gérer la taille de l'image et de la réduire tout seul. Aussi, si la taille dépasse un certain seuil, elle s'affichera en version web mais pas en version tablette. Soit. Sur ton téléphone tu ne verras donc pas l'image que j'ai sélectionnée avec tant de soin mais que je n'ai pas pris le temps de redimensionner. Tout ici n'est pas léché au quart de poil comme chez l'ami Tto.
Que voulais-je dire au fait ? Ce jour là il n'y avait pas d'image.
Ah oui, dans la journée, je me connecte sur le réseau social et là surprise mon partage a été liké. Ouah ! C'est bien la deuxième fois que ça m'arrive...
Mais que vois-je alors ? Une image que je n'ai pas choisie.
J'en déduis que faute d'illustration le partage d'un post issu de blogger entraine la sélection automatique d'une image parmi celle qui figurent dans le stock enregistré sur ton compte google. Je suppose que c'est google qui est en cause et non facebook. Je trouve ça d'autant plus scandaleux que l'image en question n'avait rien à voir avec le sujet et que je ne suis pas du genre à arborer un tel slogan :

J'avais déjà utilisé cette image pour ce billet qui fait partie de mon top 5.
Imagine que j'ai enregistré  une photo confidentielle ? Nous sommes vraiment très mal protégés...