Autrefois je ne pouvais m’endormir sur le dos. Je sombrais en chien de fusil. J’ai plus de diversité de position aujourd’hui. Je m’étais glissé nu sous la couette. Je profitais des quelques instants que me laisse un endormissement toujours très rapide.
Avec la main gauche, je caressais délicatement le téton droit. Ma main droite errait sur le bas-ventre, à la limite du pubis velu et des bourses rasées, proche de la verge au repos. Mon esprit s’évadait dans des chaleurs masculines. Je sentis le membre se gonfler tandis que la pince jouait avec un testicule. Puis plus rien. Est-ce ainsi que l’on peut partir pour toujours ?
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