La semaine dernière, j'ai écouté une partie d'une émission d'Inter sur le phénomène menstruel. C'était sur service public, car vois-tu les ragnagnas intéressent le service public. Et j'ai découvert plein de choses intéressantes, comme quand je lis les chroniques du docteur Love sur uneviedetto. J'étais même étonné qu'autant de femmes (source non citée) soient si ignorantes de leur corps mais après tout c'était peut être à la hauteur de ce que me révèle sur le mien les chroniques susvisées (par exemple que la longueur de mon pénis peut varier jusqu'à quelques centimètres selon mon excitation). Il y a même eu un mini débat sur pour ou contre les contraceptifs qui font disparaître totalement les règles. Une vieille dame jugeait es-qualités que les femmes y perdent en féminité, une plus jeune considérait que la féminité avait bien d'autre moyens d'expression (âge estimé par mes soins à la voix des intervenantes). J'avais raté le début et c'était bien dommage car il m'aura manqué quelques éléments sur les protections écologiques. Eh oui, si tu ne le savais pas, la protection de la planète passe aussi par la gestion des effluves ragnagnesques.
Un des moments cruciaux de l'émission devait être atteint par une question perfide de l'animateur : est-ce que les hommes ont aussi des sautes d'humeurs liés à une phénomène physiologique ? Un léger moment d'inattention - je conduisais sur une route de montagne - m'a fait perdre une partie de la réponse, qui m'a paru négative. Et pourtant, j'en connais bien quelques uns qui ont leurs ragnagnas quasiment tous les jours.
Bon allez, la rentrée, c'est fait !
Mes petites connaissances sur la physiologie hormonale masculine me font répondre oui et non. Non, peu de cycle circadien (quotidien), pas de cycle mensuel pour la testostérone. Mais oui au cours de la vie, en particulier après 50 ans le taux moyen de cette hormone baisse et les hommes sont moins agressifs ou caractériels.
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