jeudi 7 mars 2024

Ah, si j’avais un compte X !

Matoo nous fait une rétrospective sur son écriture bloguesque et la restitue dans l’épopée des blogs. Cela confirme s’il en était besoin que je suis arrivé à la fin de la période faste. Je suivais des blogs depuis quelque temps, assidu notamment du blog d’Oh où je participais au flot des commentaires, jusqu’à ce qu'un évènement nous rapproche. En parallèle des commentaires, nous commençâmes à échanger par messagerie. Il m’invitait à me jeter à l’eau et alla jusqu’à publier un de mes textes avant d'arriver à me convaincre. Assez vite j’avais créé un compte Facebook associé où un petit utilitaire, disparu depuis, permettait de publier automatiquement les billets de blog sur le compte. Ce fut ma seule ouverture aux réseaux dits sociaux. Je finis par perdre mon compte à force d’attaque de trolls, qui ne supportaient pas mes soutiens à des démarches antifascistes et antiracistes, et de réprimandes sur le choix de photos à caractère soit disant trop sexuel. J’ai passé l’éponge faute de ne pouvoir justifier de l’identité d’Etienne Maurice. Ce compte drainait quelques utilisateurs et participait à leur renouvellement. J’y avais des amis sympathiques perdus de vue depuis. Je n’ai pas passé le cap de l'ouverture d'un compte tweeter où j’aurais peut-être pu rayonner largement. Vois par exemple mon billet qui voulait te faire aimer le train comparé à ce tweet sur ces « contrôleurs qui ont le don de vous faire détester le train :) » qui a fait plus de 10 millions de vue, 42.700 j’aime et 1.500 partages. Tweet auquel un directeur de la SNCF a daigné répondre (mais je me satisfais du commentaire de Matoo qui vaut bien à mon échelle tous les directeurs de la SNCF). Je vois au passage que je partage une chose avec Hugues du Tweet, celle de trouver les contrôleurs charmants (voir ici le détail de « l’info » dans ce qui fut un grand journal). Nous sommes au moins deux.

2 commentaires:

  1. Certains sont bien canons, c'est vrai !! Le charme de l'uniforme en plus évidemment... ;))

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    1. Ah, le temps de l'uniforme où l'on voulait me toucher le pompon ^^ !

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