samedi 2 juillet 2022

7e

Chez Beethoven, je suis surtout marqué par la 5e et la 9e. La 5e parce que nous avions la version d’Ekseption et 9e pour Orange mécanique, ce film que je ne pourrai jamais revoir. Bien que la 7e soit pourtant très connue pour les faibles mélomanes comme moi, présente dans de nombreux films avec son 2e mouvement, j’ai quand eu besoin de rechercher sur le net. Ce sont ces petites vérifications que mon cerveau m’impose dans les associations d’idées. Car en fait, cela n’avait rien à voir. Mais les associations d’idées me font glisser de sujets tellement différents que généralement je ne préfère pas en parler. J’ai regardé avant-hier soir le début de la 7e compagnie (on a retrouvé la…). C’est incroyable comme ce film n’a pas vieilli. C’est la chance des œuvres très datées à leur création, elle en deviennent intemporelles. Ce film est un chef d’œuvre de caricature et de mauvais goût, le summum d’un certain art français de l’autodérision avait été atteint. Il faut être vraiment bon acteur pour tenir des rôles aussi kitchs. Quant à moi j’ai tenu une demi-heure. J’espère faire mieux la prochaine fois. Avec le magnifique Erick Colin (photo) et son superbe torse finement ciselé que mettent en valeur trois repoussoirs.

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