Je vais avoir du mal à écrire quelques jours. Pour le moment, la place est aux retours d'enfance. Ils arrivent de toutes parts. Des enchainements de pensées, des mots qui rebondissent sur des scènes de vie. Comme ces hommages à la cérémonies des Césars, nourris des meilleurs extraits.
Sauf que là je n'ai rien sélectionné. Ils arrivent tous seuls. C'est curieux ce qui revient comme ça.
Sauf qu'il est encore là.
Pourquoi parle-t-on de légume ? Je vois plutôt un poisson immobile. La bouche bée, les yeux grands ouverts. Vides.
Ni légume, ni poisson. Une ombre.
RépondreSupprimerUne ombre, c'était cela. Elle n'est jamais partie, tant qu'il nourrit la terre.
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