Toujours des b...

J'ai déjà expliqué que j'ai découvert fort tard la grande diversité du sexe masculin. Il m'en est resté une grande curiosité qui ne serait peut-être pas si j'avais saturé mon regard à l'adolescence. Par la suite je n'ai guère été confronté à de gros calibres. À part Lucien.
Si je crois me souvenir d'une taille banale au repos, mais l'ai-je vraiment vu au repos, je suis bien certain de son imposante majesté. Un mandrin très épais et méplat, au gland peu dessiné et au frein tendu, très sensible, un sexe difficile à manipuler si je peux dire ainsi et pas facile à mettre où tu penses, je crois, je suis resté sur cette idée en tous cas.

Je fus fasciné hier par cette vision de Rudolf Noureev parmi toutes les belles images que nous offre quotidiennement Silvano sur Gay Cultes. J'y suis revenu plusieurs fois et encore aujourd'hui. J'y trouvais un décalage entre l'élégance du haut du corps et l'expression sauvage de la moitié inférieure. Une rupture dans l'image du danseur. J'aurais imaginé cette partie plus entretenue bien que ce soit ainsi que je préfère l'écrin masculin. Pour le reste, peut-être est-ce un effet de la prise de vue mais il semble qu'elle fasse la moitié de la longueur de sa cuisse. A ce stade, cela devient presque un être à part entière !

Rudolf  Noureev | Photo Richard Avedon

Ma curiosité alla jusqu'à rechercher sur le net d'autres images en espérant la trouver en érection.
Je trouvai celle ci-contre qui finalement relativise...
Protégeons nous aussi des images.